Martin “MARTOMAR” Ragaigne

Martin Ragaigne, ou Martomar, est un jeune artiste lyonnais qui porte plusieurs casquettes.
D’abord vendéen, il déménage à Nantes pour poursuivre ses études de design. Il migrera finalement sur Lyon vers 2020, une étape décisive dans sa quête de liens entre ses différentes pratiques créatives.
Derrière son profil, qu’il présente comme designer digital, se cache en réalité un artiste pluridisciplinaire. Peinture, design, modélisation 3D, animation, aérographie, sculpture, motion design, flash tattoo… Notre créatif ne cesse de regorger d’idées. Il façonne, fusionne et étonne. Ce qui est sûr, c’est qu’il ne s’ennuie jamais.
Une question se pose alors. Laquelle de ces disciplines l’anime le plus actuellement ?
Sa réponse nous révèle que venant d’abord du monde digital, il aime beaucoup la pratique de logiciels. Cependant, il nous confie qu’après des années de pratique, il aspire à étendre ses capacités manuelles et artisanales. Il porte aujourd’hui davantage son intérêt à la peinture et plus particulièrement à l’airbrushing et l’aérographie. Il nous avouera ensuite dessiner depuis longtemps, et que ce nouveau choix artistique lui permet de remettre ses esquisses en volume grâce à tous les jeux d’ombres et de lumières possibles.
L’airbrush / l’aeorgraphe Une histoire d’amitié
Tout a commencé il y a trois ans. À l’occasion de son anniversaire, son colocataire, aussi ami de l’époque, lui offrit son premier aérographe. Au premier abord, il confiera penser ne pas s’en servir autant. Et c’est pourtant après quelques soirées passées avec son colocataire à peindre un énorme drap suspendu à une porte qu’il sera complètement épris de l’objet.
Il nous racontera que ce qu’il kiffe le plus à propos de l’airbrush c’est le reveal final, l’effet de surprise, lors du retrait des pochoirs ; “L’aérographe, quand tu travailles avec […], tu ne te rends pas vraiment compte de ce que tu fais, c’est en prenant du recul, après, que tu te rends compte vraiment de ce que tu as créé. Tu peux vraiment avoir des rendus assez réalistes […] des fois.”

Ses inspirations
Martin Ragaigne, ou Martomar, est un jeune artiste lyonnais qui porte plusieurs casquettes.
D’abord vendéen, il déménage à Nantes pour poursuivre ses études de design. Il migrera finalement sur Lyon vers 2020, une étape décisive dans sa quête de liens entre ses différentes pratiques créatives.
Derrière son profil, qu’il présente comme designer digital, se cache en réalité un artiste pluridisciplinaire. Peinture, design, modélisation 3D, animation, aérographie, sculpture, motion design, flash tattoo… Notre créatif ne cesse de regorger d’idées. Il façonne, fusionne et étonne. Ce qui est sûr, c’est qu’il ne s’ennuie jamais.
Une question se pose alors. Laquelle de ces disciplines l’anime le plus actuellement ?
Sa réponse nous révèle que venant d’abord du monde digital, il aime beaucoup la pratique de logiciels. Cependant, il nous confie qu’après des années de pratique, il aspire à étendre ses capacités manuelles et artisanales. Il porte aujourd’hui davantage son intérêt à la peinture et plus particulièrement à l’airbrushing et l’aérographie. Il nous avouera ensuite dessiner depuis longtemps, et que ce nouveau choix artistique lui permet de remettre ses esquisses en volume grâce à tous les jeux d’ombres et de lumières possibles.

Son projet le plus long
Dans le cadre de l’exposition ‘Résonance’ de la 17ᵉ Biennale d’art contemporain à Lyon en 2024, Martomar a réalisé une installation. C’est à ce jour le projet dont la réalisation lui a demandé le plus temps, puisqu’il a réalisé de nombreuses sculptures et compositions en papier mâché.

Ton endroit préféré à Lyon
Martin a toujours un carnet sur lui. Il nous raconte apprécier prendre une pause dans la journée, se poser seul avec un café et dessiner dans des endroits sympas, propices à créer. Il va évoquer des parcs, et plus particulièrement “La Cerisaie”, ou encore des petits endroits cachés sur la Croix-Rousse avec une belle vue sur la ville.

Pourquoi la maison de l'écolorgie
Au début, Martomar et 3 autres de ses amis recherchaient un espace de coworking digital. Ils sont finalement tombés sur ce tiers-lieu qui se libérait lorsqu’ils en avaient besoin.
Ce qui réellement fit pencher la balance pour cet endroit sont aussi les personnes qui détiennent le lieu. Martin nous parle de son attachement envers cette maison et des personnes qui le compose, ayant toutes des valeurs en commun.
Il y a une réelle proximité avec les autres artistes, et une salle en rez-de-chaussée accueillant diverses associations. Il est d’ailleurs possible de créer des événements dans cet espace.

Projets futurs/ où te retrouver ?
Actuellement, Martomar travaille avec une amie *NOM* sur des scénographies faites en papier mâché puis peintes, pour des soirées lyonnaises.
Il nous exprime aussi vouloir continuer à faire des vêtements, et plus que ça, les intégrer dans un univers 3D. Ce qui le ferait kiffer, c’est de construire un mini jeu vidéo et mélanger ses disciplines pour développer un projet vraiment immersif.
Au-delà de sa marque de vêtement, il exprime son envie d’en sortir un peu, de ralentir ses productions, et de plutôt multiplier les expositions. Expliquant ainsi son envie de peindre, de faire des cadres et des tableaux afin de pouvoir établir une exposition.